Roumanie 1
Au compteur, 3500km à ce jour et l’impression d’avoir vu déjà tant et tant de choses !
Nous retrouver depuis peu en Roumanie, terre de contrastes ô combien, est une sacrée expérience.
Tout de suite nous comprenons la première différence, ici la douane est encore d’actualité ! Quel plaisir de doubler toutes les voitures et de présenter nos cartes (comme au bon vieux temps) à une très charmante (et jolie) douanière (pas comme au temps passé, enfin, j’en n’ai pas le souvenir !).
Le repas d’adieux avec Paul et Monique? Pas dans une petite arrière-salle aux tables cugnées, ah non, c’est du costaud, somptueux, du genre grands repas de mariage pour 200 personnes… Du coup, à quatre convives pour quatre serveurs…
Nous sommes frappés et impressionnés du nombre de nouvelles églises construites, les anciennes en bois ne font peut-être pas assez clinquant. Ainsi, à Negresti Oas, nous avons pris un pic-nic au pied d’une de ces nouvelles bâtisses, tous feux argentés dehors, avant d’avoir la chance de visiter un petit Ballenberg local où l’église nous montrait d’autres proportions (peut-être plus humaines.
Dans ce musée en plein air nous avons aussi pu admirer des barrières tressées à l’ancienne, des intérieurs de fermette vraiment ristrett´, une machine à laver de compétition, des toits de foin (et pas de chaume), un portail d’entrée magnifique. Superbe.
Ensuite le choc fut effectivement de voir à quel point la frénésie de construction prend certains villages. C’est probablement du 4 maisons sur 5 qui vit sa mue, en hauteurs comme en surenchère de pimpant voyant spacieux etc.
Le plat va céder sa place aux collines et certains panneaux d’entrée de village nous indiquent que nous jouxtons l’Ukraine et la Hongrie ! La paysannerie se décline souvent encore de manière très simple, chevaux le plus souvent et foins séchés d’abord sur des claies (si le temps est à la pluie) puis amenés sur des meules. Du gros travail.
En point de mire pour ce début, le cimetière heureux de Sapanta. Nous n’avons pas les traductions des poèmes, probablement nous avons perdu beaucoup, mais les « pictos » sont très explicites. On a pensé à « notre » cimetière de Jaun – Bellegarde pour le look.
Vraiment magnifique. Je suis votre parcours avec plaisir. A +
Pas d’ours ni de loups… Pour l’instant !!!
Nous aussi! Nous nous réjouissons d’une fois à l’autre et sommes admiratifs!
Vos photos ainsi que les explications sont fantastiques!
Merci, à tout bientôt.
Hello les amis,
Trop bien de vous suivre, si facilement, d’un coup de clic après quelques heures de boulot…
Et que vous me faites envie !!!!
Sentez-vous aussi l’arrivée de l’automne, le matin, avec l’herbe humide et quelques nappes de brouillard rafraichissantes ?
Plein de gros becs
A +
Hello…
Pour être francs et pour répondre à ta question sur l’automne, non, ce n’est pas vraiment flagrant, pas de brumes, des rosées (surtout si le camping est près d’une rivière), du vent frais par contre lorsque nous franchissons un IMMENSE col à 1400m… Et nous préférons ne pas attendre fin octobre !!! Sinon été très indien…
Salut les amis c’est magnifique votre voyage, superbe photos et explications, je suppose que c’est madame qui photographie pendant que monsieur pédale, … ???
Salutations
Pierre-Alain
C’est comme tu dis, merci de ta clairvoyance… Bis bald !
Mais,mais …. Quel voyage! Magnifique! Tout de bon pour la suite! A bientôt! Marcel
On se réjouit pour la suite… Tout de bon sur Saint-Martin…