De la ville, on passe au parc naturel de la Thur (tiens ça me dit quelque chose ^^). Ce nouveau fil de l’eau me laisse un goût un peu amer : que pouvons-nous, que peuvent-ils encore faire contre toutes ces renouées du Japon ??!! Rien j’imagine. Et c’est pour cela qu’elles sont si bien installées par ici. Je réalise que quand elles prennent toutes leurs aises, elles forment littéralement des murs, parfois de chaque côté du chemin. Et ces haies de 2 à 3 mètres de haut nous empêchent de distinguer la rivière. Nos haies indigènes, elles, nous la laissent toujours au moins entrevoir! On en voit des touffes jusqu’au milieu des champs de blés…

Dans les hauteurs, on se réjouit de perdre ces « acolytes » qu’on retrouve malheureusement (mais en moins grand nombre jusqu’ici) le long de la Moselle. La jolie voie verte nous permet de filer à la descente vers le beau camping des Deux Ballons.