Chers amis, vous tous qui nous suivez!
Je n’aurais jamais imaginé (je pourrais dire nous, puisque vous ne savez jamais vraiment lequel des deux écrit…!) que les récits de nos pérégrinations génèrent un tel engouement de votre part!! Merci merci de tous vos gentils commentaires! Mais attention! Il me semble que votre enthousiasme nous galvanise et du coup, vous risquez une overdose de photos et de détails……. J’en connaît un qui , lui, fait rarement dans la demi-mesure haha!

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Gloussements ou glougloutements pour un au revoir matinal, automnal et brouillardeux !

Le col qui nous amènera à Dospat nous permet de prendre le temps de nous surpendre par de pures merveilles.

Les Pomaques ou bulgares musulmans vivant sur les hauteurs du Massif des Rhodopes ont plusieurs métiers dont, semble-t-il, casseurs de pierres. Un nombre incroyable de places étaient soit en intense utilisation, soit en stand-by provisoire. Très peu de machines encore.

Un des premiers villages pomaques que nous croisons, avec cette autre activité typique, le tabac.

Bucolique, un peu moins ou un peu plus. Le feu est sans odeurs parasites d’origine plastique, ouf. A vrai dire, nous avons aussi croisé plus tôt dans notre tour des feux dont un des carburants semblait être le PET ou autres sacs plastiques.

Une place bulgare comme on les apprécie de plus en plus, ici avec son éloge à l’Europe. Plus loin derrière, au moins cinq terrasses avec toutes leur propre wifi disponible en Free !!!

On connaissait le parapluie bulgare, on ne manquera pas de vous faire un chapitre sur les… fontaines bulgares. Ici l’occasion de démontrer comment certaines pierres sont utilisées. Et, oui, c’est la plus belle…

Dospat, sur le flanc d’un barrage.

Dospat – Batak, 50km d’une splendide route dans les forêts et, parfois, un lac sublime nous incite à la contemplation. La région est très peu habitée mais, de temps en temps, des sons nous indiquent que la forêt est exploitée par endroits.

Les feuilles mortes, on les préfère sèches !

L’âne qui aura probablement tracté la carriole de bois.
Il va faire froid cet hiver (bis). Je riais d’imaginer la même scène transposée, à Bulle ou Lutry, sur le trottoir devant la maison, hop, on décharge la marchandise !

En remontant vers le col de Yundola, un village et ses champs en étages. A l’arrivée plusieurs chiens nous signifient que nous sommes au col et celui-là nous a même accompagnés sur quelques mètres !

À force de voir des vendeurs de miels et autres produits locaux, nous craquons ! Hmmmm…

Nous ne nous lassons pas d’admirer ces statues… Mais qui sont-ils ?

Si si, les peupliers menant à Bansko ont poussé avec le vent… Ne pas redresser l’image merci !

Bansko la très touristique (pas trop en cette période de l’année), nous étonne. Les câblages nous rappellent China Town à SF ! Sinon, oui, les prix sont aussi vertigineux que les pistes belles (paraît-t-il), du moins dans les « méhanas ».

Touristique ?

Bucolique et modernité, à nouveau je ris à imaginer une villa de par chez nous désirant se faire un appoint énergétique..,

On vous le disait, on adore les grandes places, ici à Blagoevgrad !

Touche colorée pour finir !

Demain la Macédoine…